Témoignages
Témoignages
L’aide aux hommes : témoignages de participants
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- J’ai grandi comme homme et je peux maintenant comprendre davantage les gestes de violence que j’ai posés à l’époque.
- J’ai appelé quand ça n’allait pas et grâce à ça, j’ai changé mon fusil d’épaule. Merci!
- Dès le premier appel, j’ai eu l’impression d’être à la bonne place.
- Accueil super, d’égal à égal et bien expliqué.
- J’ai aimé l’approche graduelle. On ne vous saute pas sur le cas au premier rendez-vous et on ne vous force pas à parler.
- Sans Maison Oxygène Outaouais, mon enfant serait en famille d’accueil…
- Dès la première rencontre de groupe, je me suis senti à l’aise, car on était tous là pour la même raison. La force du groupe, c’est l’expérience vécue par les autres participants. On se reconnaît dans les autres et on s’aide à cheminer.
- J’ai grandi comme homme et j’ai retrouvé la joie de vivre.
- Être papa, ça ne vient malheureusement pas avec un livre d’instruction et ce n’est pas ce que j’ai vécu dans mon enfance qui peut me servir de bon modèle… Avec le programme d’habiletés parentales, j’ai de nouveaux outils pour mieux comprendre mes enfants et leurs besoins et savoir comment bien y répondre.
- Le programme m’a donné les connaissances pour identifier toutes les formes de violence et les outils pour m’en sortir.
- Après avoir vécu deux divorces et beaucoup de conséquences en lien avec mes comportements agressifs, je voulais changer.Continuez votre bon travail. Ce n’est pas facile de savoir contrôler sa colère et c’est grâce à vous que l’on peut avoir de l’aide et du soutien pour y arriver.
- La confrontation, ça m’a aidé à réfléchir, à me faire voir pourquoi je me sentais comme ça et me faire réaliser que je n’étais pas obligé d’utiliser de la violence.
- Vous m’avez fait réaliser à quel point j’avais besoin de me retrouver.
- Après le programme, tu vois la vie d’une autre façon.
- Les bienfaits du programme m’ont beaucoup aidé à développer mon estime personnelle. Cela m’a donné une chance de m’exprimer et j’ai appris des stratégies pour faire face aux obstacles.
- Ce programme m’a permis d’apprendre un peu plus sur mes réactions, de savoir quand la colère monte en moi, les types de violence, le cycle de la violence et surtout, comment gérer et me débarrasser de mes colères et sautes d’humeur avant qu’ils dégénèrent en violence.
- Maison Oxygène m’a donné un toit, un lit, de la nourriture et surtout, le soutien et l’aide pour faire des démarches pour rétablir le lien avec mon enfant.
- Quand on y pense un peu, vous nous donnez – littéralement! – les connaissances, les outils, le temps, l’écoute et souvent le courage de virer nos vies boute pour boute et de donner à nos kids ce que des générations de gars auraient voulu offrir aux leurs: une chance de briser le moule poche qui leur a été transmis. Pis ça c’est sans compter le travail avec la DPJ, la police et les procureurs.
- La chose intéressante est que sans DTUC, je ne pense pas que je serais même capable de m’attaquer à ces problèmes-là. Ça fait longtemps que j’avais l’intuition que j’allais devoir le faire, mais je ne sais pas si j’aurais même eu les moyens d’articuler les termes du problème… Je suis sorti du programme avec une tonne d’outils qui m’ont sauvé une tonne de douleurs et de problèmes (et peut-être même ma job et ma vie). Well, you did a good job with me… and keep doing it apparently!
- Avoir su tout ça, ma vie serait beaucoup différents pis c’est frustrant de penser au temps perdu. On a besoin de DTUC dans toute les écoles, toutes! Faut ça soit là à 6 ans, aussitôt qu’ils peuvent parler et s’exprimer, tu ne les lâches pas : 8 4 4, la grille, la roue de l’émotion, toute! Je pense que ça va faire une génération de femmes et d’hommes beaucoup plus en contrôle d’eux-mêmes. Ce n’est pas normal, j’apprends à me gérer et en être conscient à 31 ans.
- La situation (COVID) me fait très peur, pas pour moi, mais pour tous les enfants à la maison avec des parents qui n’ont pas les outils (du programme). Je le sais que ça se passe parce que JE ne me serais même pas imaginé dans une telle situation sans mes outils auparavant.
- J’utilise fréquemment le retrait et ça me permet de voir la situation avant de la faire.
- Dans le fond, c’est ça qu’il faut chercher à faire quand que l’adrénaline a pop. Il faut essayer de penser raisonnable. Il faut créer une descente de l’adrénaline. On respire. On se calme. On se dépompe. On se remet les idées claires.
- Maintenant je comprends qu’à la maison, je suis plus grand que tout le monde, je suis plus fort que tout le monde, j’ai une grosse voix, alors je ne peux pas réagir comme un enfant. J’ai pu comprendre quels gestes faisaient que les autres pouvaient se sentir menacés. Y’a plusieurs formes de violence.
- C’est beau de voir l’évolution et les réussites des autres. C’est beau de voir l’impact positif que tu as sur les autres participants du groupe.
- J’ai appris des autres, en écoutant, en voyant nous-mêmes et en trouvant différentes solutions. Souvent, il y en a un qui va parler et tu vas mieux te comprendre toi-même.
- Je me vois dans mon fils et ça m’a donné la motivation de changer. Avant le groupe, je ne savais pas que je pouvais être perçu comme agressif quand moi-même j’avais peur.
- J’ai pris conscience que c’était un choix de péter une fuse, que c’était un choix parmi plusieurs autres options.
- Quand l’intervenant a mis les types de violence au tableau… La seule chose dans laquelle je ne me voyais pas, c’était le physique et le sexuel. Tout le reste, c’était moi.
- Quelques mots pour remercier Donne-toi une chance et les intervenants pour leur dévouement dans le processus de mon rétablissement, ainsi que celui des autres participants présents aux réunions. Ce groupe représente une étape importante dans l’amélioration de mes comportements. Merci encore une fois.
Témoignages Maison Oxygène
Magaly et Viktor, deux enfants hébergés, vous offrent leur témoignage de l’importance et de l’impact de leur séjour en Maison Oxygène.